Marie Kerfont échange avec l'enquêteur sur ses origines et celles de l’informatrice présente avec elle.

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Marie Kerfont et une autre informatrice expliquent succinctement leur histoire familiale.

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Marie Kerfont raconte l'histoire du peuplement de la péninsule.

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Marie Kerfont parle des origines de ses parents. Les français qui sont arrivés à Terre-Neuve se sont mariés avec des jeunes filles. Elle en est une descendante. L'enquêteur trouve qu'il y a des ressemblances de visages avec les français dans cette région de Terre-Neuve.

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Marie Kerfont n'a plus de parents. L'ensemble de ses frères et sœurs sont mariés et elle est la seule qui est restée au Cap.

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Marie Kerfont évoque les derniers français qui sont arrivés à Terre-Neuve au XIXème siècle. Des acadiens sont également venus s'installer mais il y avait davantage de français.

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Marie Kerfont et une autre informatrice échangent sur leur ancêtres.

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Pour Marie Kerfont, entre les acadiens et les français, il y a une différence. Elle se fait par l'accent et le visage.

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Marie Kerfont a appris l'anglais à l'école. Des personnes savent parler français, mais elles en ont honte. Mme Kerfont a des petits enfants qui ne parlent pas français et qui reprochent à leur parents de ne pas leur avoir appris le français en étant d'origine de Terre-Neuve. Mary Kerfont pense que c'est un avantage de connaître les deux langues. Il a été difficile pour elle d'apprendre l'anglais en arrivant à l'école car ses parents ne parlaient pas du tout l'anglais. Elle a élevé ses enfants avec les deux langues. A la maison, elle ne parlait que le français.

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Marie Kerfont se définit comme une terre-neuvienne, puis française, puis acadienne. Elle ne se définit pas comme une canadienne. Lors de la déclaration de Terre-Neuve comme une province canadienne, il y a eu des changements, comme le retrait de la douane et des frais pour sortir de Terre-Neuve.

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Marie Kerfont et une autre informatrice parlent des différences de climats par rapport à d'autres régions. A Terre-Neuve, il fait froid, il gèle et la pêche, l’une des seules activités possible de la région en est difficile. Marie Kerfont raconte les difficultés de pêche, en particulier à cause des chalutiers de Nouvelle-Ecosse.

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Marie Kerfont raconte les raisons du nom donné à Cap-Saint-Georges. Elle parle des premiers habitants français de la région. La famille des Ozon a totalement disparu, bien qu’il y en ait à Saint Georges, mais peut-être pas de la même famille. En dehors de la péninsule de Port au Port, il y a également quelques français.

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Marie Kerfont préfère l’endroit où elle habite actuellement en comparaison à celui où elle vivait au début de son mariage. Ils ont déménagé à cause du travail et ont construit une petite cabane, puis une maison pour la famille. Une fois les enfants partis, elle y a logé des employés.

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Marie Kerfont raconte la rencontre avec une cousine.

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Marie Kerfont et l’autre informatrice évoquent les personnes qui répondent en anglais quand on leur pose des questions en français. Sur la péninsule il y a plus de français qu'ailleurs, mais les gens avaient abandonné le français au profit de l'anglais. Depuis quelques années, il y a un changement qui se fait. Leurs petits enfants savent le français si leurs parents leur parlent dans cette langue.

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Marie Kerfont allait à pied à La Grand'Terre en traversant les ruisseaux pieds nus, pour aller danser dans les maisons. Elle dormait chez le vieux Barter.

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Pour Marie Kerfont, sur le Cap Saint Georges il n'y a pas trop d'anglais. En remontant vers Degras, il y en a plus qui savent parler français mais ne le veulent pas. Avant ce n'étaient que des français, mais leurs descendants se sont mis à apprendre l'anglais. A ce jour, ils ont des regrets de ne pas connaître les deux langues, car c'est commode. L’autre informatrice ne parle pas anglais. Elle a été élevée par des familles de français. Pour Marie Kerfont, les parents doivent continuer à parler les deux langues avec leurs enfants.

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Marie Kerfont raconte que dans l’école où elle a été, il fallait apporter son bois pour chauffer l'école et beaucoup marcher pour s’y rendre. Sa dernière maîtresse ne parlait qu'en anglais et punissait les élèves qui parlaient français. Il y avait le drapeau et le portrait de la Reine.

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La vie n'était pas facile, il y avait la farine noire et des tickets de rationnement. La mère de l'informatrice avec Marie Kerfont est morte de misère. Si les habitants voulaient vivre, il fallait jardiner, élever, pêcher (il y avait beaucoup de poissons). Le mari de Marie Kerfont travaillait le bois. Mme Kerfont, raconte comment la morue était préparée pour être vendue. Son mari gagnait mieux sa vie une fois qu'il a travaillé à la base militaire.

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Marie Kerfont raconte sa première visite à Stephenville : il n'y avait que deux boutiques et des fermes. Les fermes permettaient de vivre. Elle avait des animaux pour porter les charges, car tout se faisait à pied. Elle s'arrêtait chez sa sœur pour la nuit.

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L'enquêteur demande à Marie Kerfont si elle a des regrets de l’ancien temps. Elle ne peut avoir de regret elle ne connaissait pas la différence. Tout était fait à la main. Pour Marie Kerfont, la marche arrière sera compliquée maintenant. Elle parle de sa pension et du coût de la vie qui augmente. Elle est toujours restée à la maison pour s'occuper des enfants, elle jardinait, s'occupait du poulailler, des vaches, des cochons, du beurre, du tricot.

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Marie Kerfont faisait carder la laine pour se faciliter la tâche. Elle aidait son mari à la pêche et son mari l'aidait également. Ils tenaient un magasin en bord de côte et travaillaient toute la journée. Ils dormaient peu. Le soleil ne leur chauffait pas la peau du ventre ! Lorsqu’il avait du temps libre, son mari a bâti la maison actuelle. Il y avait des fêtes et le dimanche il n'y avait pas de travail.

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Les danses étaient le samedi soir. Il y avait peu d'étrangers et pas de mélange avec les anglais. Il y avait parfois des disputes entre hommes par jalousie.

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Les journées de Marie Kerfont étaient bien remplies. Aujourd'hui ce n'est plus pareil. La famille racontait des contes et chantait des chansons. Pour Mme Kerfont, le monde est défiguré par les jukebox et les personnes ne se connaissent plus. Tout le monde racontait des contes dans les maisons. Tout le monde faisait ses prières le soir.

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Marie Kerfont ne se souvient plus de conte, y compris leur titre. La belle-mère de l'informatrice enquêtée avec elle connaîssait des contes français et des chanson, et elle-même les a oublié. 
L’enquêteur raconte la rencontre de sa mère et d’Emile Benoit autour de chansons.

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Marie Kerfont recherche une information dans le journal Le Gaboteur. Les musiciens achetaient des accordéons à Stephenville ou en Nouvelle Ecosse. Ils jouaient pour faire danser lors des fêtes pour les grands jours.

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La Chandeleur est moins fêtée qu'avant. Marie Kerfont explique se qui se faisait lors de cette fête.
Elle évoque le Centre, auquel elle va parfois pour des activités.

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Marie Kerfont parle de la fête des mères et des robes actuellement vendues. Ils évoquent de la femme, la famille et la vie de l'enquêteur.

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Marie Kerfont a eu quatorze enfants : six fils et huit filles. Elle évoque le décès de quatre d’entre deux ainsi que celui de son mari. Elle parle également de ses autres enfants, mariés et installés.

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Plus jeune, Marie Kerfont faisait pleins d'ouvrages et aujourd'hui elle est usée. Elle évoque les opérations qu’elle a eues ou refusées, et regrette de ne plus pouvoir aller au bingo.

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Pour Marie Kerfont, ce sont toujours des Français qui habitent vers le Cap Saint Georges, y compris ceux qui ne veulent pas parler français mais dont les ancêtres étaient français.

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Marie Kerfond évoque le parcours des premiers français venus habiter l’île rouge pour la pêche. Leurs femmes sont venues travailler dans la boulangerie qu’ils ont créée.
Elle montre une photo de sa belle-sœur et de l'un de ses fils.

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Marie Kerfont savait lire et écrire avant d'aller à l'école. Elle a appris de ses parents. Étant donné qu'elle était bilingue et qu'elle savait lire et écrire, elle aidait les gens à remplir les documents. Elle a toujours beaucoup lu.

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Marie Kerfont évoque les différences d’habitudes de consommation entre son temps et aujourd’hui. Les gens ne jardinent plus, n'élèvent plus d'animaux et achètent tout des magasins. En temps de guerre, il y fallait faire avec ce qu’ils avaient et les difficultés d'approvisionnement.

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Marie Kerfont n'avait pas beaucoup de vêtements. L'été, elle marchait pieds nus et l'hiver, elle se fabricait des souliers de peau et des bas de maine. Elle explique la préparation des peux d’animaux pour se faire des chaussures.

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Marie Kerfont décrit deux jeux d'enfant.

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Marie Kerfont se faisait punir quand elle sortait le soir pour aller danser. Si elle rentrait trop tard, il ne fallait pas qu'elle fasse de bruit en rentrant.

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Marie Kerfont raconte l'histoire de l’arrivée des enfants dans les familles, apportés par des vieilles sorcières. Cette histoire racontée aux jeunes filles. Elle a déjà été chercher la sorcière. 
A l'époque la femme juste accouchée restait cachée dans la maison.

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Marie Kerfont et l'informatrice avec elle évoquent les superstitions autour du chat noir.

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Marie Kerfont a vu un soir l’esprit de sa belle mère, qu'elle n'a pas connue et n’avais jamais vue. Cette soirée, elle a eu peur. Son mari ne l'a pas cru.

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Marie Kerfont évoque les personnes qui voyaient des esprit auparavent, ainsi qu’un lieu plus à l’est où l’on voyait des choses et esprit, et où le prêtre amenait des personnes malades.
Il y avait un phare qui a brûlé à cet endroit.

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Il y avait souvent des goélettes qui venaient avec de l'alcool pas cher. C'était joli à voir avec toutes les voiles des bateaux. Une fois, l'équipage avait proposé à Marie Kerfont  de l'embarquer. Il était prévu qu’ils aillent danser le lendemain soir, mais ils se sont fait attraper, donc ils n'ont pas pu aller à la danse. L'année suivante, un marin est venu au magasin de son oncle et il l'a reconnue.

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Marie Kerfont évoque les taxes que l’on retrouve partout, alors qu’il n’y en avait pas à l’époque. Elle va devoir payer des taxes sur les terres, suite à un meeting récent.

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Marie Kerfont évoque le fait qu’il n'y avait pas d'hôpital. La médecine était faite à partir de plantes, par soi-même. 
Le premier hôpital a été construit au Crossing, lors de l’arrivée des américains à la base militaire. Le mari de Marie Kerfont y a travaillé. 
Tous ses enfants sont venus au monde à la maison avec une sage femme, qui restait quelques jours à la maison.

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Marie Kerfont détaille à l'enquêteur le surnom donné aux habitants de Felix Cove.

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Marie Kerfont parle d'une sage-femme avec laquelle elle a acouché de son premier enfant. Celui-ci est parti vingt ans dans la marine et parle bien français et anglais.

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Sur demande de l’enquêteur, Marie Kerfont évoque la manière dont les nouveaux venus se sont répartis les terres. C'était un arrangement entre les personnes elles-mêmes.

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Après les remerciement de l’enquêteur, Marie Kerfont annonce qu’elle a déjà été enquêtée car elle est la plus vieille de son village. Elle indique les noms de personnes qui peuvent raconter des histoires à l'enquêteur. L'enquêteur se renseigne si il y a une maison pour les personnes âgées.

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Marie Kerfont évoque les prêtres catholiques : ils étaient durs avec les jeunes filles enceintes avant le mariage. Aujourd'hui quand on en entend parler, ce n'est pas pour de bonnes nouvelles, ce qui explique en partie qu’il y a moins de croyants qu'avant. Marie Kerfont raconte des histoires de confesse. L'enquêteur cherche à savoir si il y avait des Saints de fêtés et pour donner de la chance.

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<p>Interface de consultation des données du projet Francoralité déposées sur Nakala.</p>
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<h2><a href="https://francoralite.nakala.fr/content/mission-saintonge-1969" target="_self">Index mission ATP_1969-Mission-Saintonge </a></h2>
<p></p>
<h2><a href="https://francoralite.nakala.fr/content/selection-thematique-matrimoine" target="_self">Sélection thématique : Matrimoine </a>&nbsp;</h2>
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<h1>Index mission ATP_1969-Mission-Saintonge</h1>
<h2>Carnets de terrain</h2>
<p>C<a href="https://nakala.fr/10.34847/nkl.5aab1u9i" target="_self">arnet d’enquête de terrain de Claudie Marcel-Dubois</a></p>
<p><a href="https://nakala.fr/10.34847/nkl.9b2c4w3v" target="_self">Carnet de terrain de Jeanne-Marie. Bourreau</a></p>
<h2>Photos de terrain</h2>
<p><a href="https://nakala.fr/10.34847/nkl.be633595" target="_self">Photo de terrain - Enquête UPOI_ATP_0001_0001</a>&nbsp;</p>
<p><a href="https://nakala.fr/10.34847/nkl.dfb48p29" target="_self">Photo de terrain - Enquête UPOI_ATP_0001_0002</a>&nbsp;</p>
<p><a href="https://nakala.fr/10.34847/nkl.20bdpb9f" target="_self">Photo de terrain - Enquête UPOI_ATP_0001_0003</a>&nbsp;</p>
<p><a href="https://nakala.fr/10.34847/nkl.8a0czf6x" target="_self">Photo de terrain - Enquête UPOI_ATP_0001_0004</a></p>
<p></p>
<h2>Enregistrements sonores de terrain</h2>
<p><a href="https://nakala.fr/10.34847/nkl.2af70fk9" target="_blank">Répertoire chanté et récité, et témoignage de Valentine Langlade - Montendre </a>&nbsp;</p>
<p><a href="https://nakala.fr/10.34847/nkl.deb47501" target="_blank">Répertoire joué à la trompette et au clairon, et témoignage d'Albert Maissant - Aulnay de Saintonge</a>&nbsp;</p>
<p><a href="https://nakala.fr/10.34847/nkl.1cdfzml2" target="_blank">Témoignage de Paul Passebon – Saint-George-de-Longuepierre</a>&nbsp;</p>
<p><a href="https://nakala.fr/10.34847/nkl.d0feav0n" target="_blank">Répertoire et témoignage de Ernest Peluchon – Chaillevette</a>&nbsp;</p>
<p><a href="https://nakala.fr/10.34847/nkl.a1a498k8" target="_blank">Répertoire chanté et témoignages de Louis Martin – Saint-Hippolyte</a>&nbsp;</p>
<p>Répertoire joué au violon et témoignage de René Doublet et Emilien Doublet – Razour</p>
<p>Répertoire instrumental du groupe folklorique “Les Déjhouqués” – Le Grand Village Plage</p>
<p>Répertoire chanté, joué à la clarinette et témoignage de Robert Boquet – Crazannes</p>
<p>Répertoire chanté et témoignages de Georges Troussereau et André Botineau – Le Grand Village Plage&nbsp;</p>
<p>Répertoire chanté et témoignages de Cécile Marot – La Menounière</p>
<p>Répertoire chanté et témoignages de Marie-Henriette Ricou ; Charles Aubrière et Mme Aubrière – La Michelière&nbsp;</p>
<p>Répertoire joué au violon et témoignage de M. Charles Aubrière et Mme Aubrière - La Biroire</p>
<p>Témoignages autobiographiques de M. Charles Aubrière – La Biroire<br>&nbsp;</p>


<h1>Sélection thématique : Matrimoine</h1>
<h2>Témoignages de Marie-Henriette Ricou</h2>
<p></p>
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<p>Marie-Henriette Ricou, informatrice-chanteuse. (<a href="https://nakala.fr/10.34847/nkl.20bdpb9f" target="_blank">Extrait de Photo de terrain - Mission Saintonge 1969 - Enquête UPOI_ATP_0001_0003</a> )</p>
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<h3>ATP_0001_0003_005_Saintonge_Information sur la famille de Marie-Henriette Ricou</h3>
<p></p>
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<p></p>
<p>Mme Ricou évoque les obligations familiales qui l'on empêchée d'apprendre la musique (extrait de l'enquête <a href="https://nakala.fr/10.34847/nkl.a03a235m" target="_blank">UPOI_ATP_0001_0003</a>).</p>
<h3>ATP_0001_0003_006_Saintonge_Chanson à la mariée</h3>
<p></p>
<iframe width="auto" height="auto" src="https://api.nakala.fr/embed/10.34847/nkl.a03a235m/cc4725dcba26ee6e2d09f626e8919d56e5cd6352" frameBorder="0"></iframe>
<p></p>
<p>Mme Ricou évoque les noces auxquelles elle a assistées et les cahiers de son père. Elle tente de chanter "Chanson à la mariée" (extrait de l'enquête <a href="https://nakala.fr/10.34847/nkl.a03a235m" target="_blank">UPOI_ATP_0001_0003</a>).</p>
<h3>Carnet d’enquête de terrain de Claudie Marcel-Dubois pour la mission Saintonge 1969&nbsp;</h3>
<iframe width="auto" height="auto" src="https://api.nakala.fr/embed/10.34847/nkl.5aab1u9i/93df0a01b1f985874d68bec4d528a6c495e55271" frameBorder="0"></iframe>
<p>Notes de l’enquête chez Mme Ricou. (<a href="https://nakala.fr/10.34847/nkl.5aab1u9i" target="_blank">extrait de Carnet d’enquête de terrain de Claudie Marcel-Dubois</a>)</p>
<p></p>
<h3>Carnet de terrain de Jeanne-Marie Bourreau pour la Mission sur l’île d’Oléron</h3>
<p></p>
<iframe width="auto" height="auto" src="https://api.nakala.fr/embed/10.34847/nkl.9b2c4w3v/3934e399bfa7273d79dc76012a5008da005d7dce" frameBorder="0"></iframe>
<p></p>
<p>Notes de l’enquête chez Mme Ricou. (<a href="https://nakala.fr/10.34847/nkl.9b2c4w3v" target="_blank">extrait de Carnet de terrain de Jeanne-Marie Bourreau</a>)<br>&nbsp;</p>
<p></p>
<h2>Témoignages de Cécile Marot</h2>
<p></p>
<iframe width="700" height="400" src="https://api.nakala.fr/embed/10.34847/nkl.8a0czf6x/83abadc3b4ca5d596ad8537ed3bbed06370271b9" frameBorder="0"></iframe>
<p>Cécile Marot et son mari dans leur jardin. (<a href="https://nakala.fr/10.34847/nkl.8a0czf6x" target="_blank">Extrait de Photo de terrain - Mission Saintonge 1969 - Enquête UPOI_ATP_0001_0004</a>)<br>&nbsp;</p>
<h3>ATP_0001_0004_008_Saintonge_Information Biographique Cécile Marot</h3>
<p></p>
<iframe width="auto" height="auto" src="https://api.nakala.fr/embed/10.34847/nkl.45c2ykmr/f20a53ea9f8e1ef337cc08e8f1ead70d4ede1bc9" frameBorder="0"></iframe>
<p></p>
<p>Cécile Marot témoigne en compagnie de son mari à propos de son enfance à l’école, de son aptitude au chant, son apprentissage du piano, son métier de couturière, son mariage et de la manière de mener les bœufs (extrait de l'enquête <a href="https://nakala.fr/10.34847/nkl.45c2ykmr" target="_blank">UPOI_ATP_0001_0004</a>).</p>
<h3>ATP_0001_0004_017_Saintonge_Chanson du domestique</h3>
<p></p>
<iframe width="auto" height="auto" src="https://api.nakala.fr/embed/10.34847/nkl.45c2ykmr/9c177a3df0c0432c02ecaae3af98fa4aea8363f6" frameBorder="0"></iframe>
<p>Chante le début de la chanson et témoigne sur ses répétitions, les veillées et les danses (extrait de l'enquête <a href="https://nakala.fr/10.34847/nkl.45c2ykmr" target="_blank">UPOI_ATP_0001_0004</a>).</p>


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Auteur :	enquêtée avec Marie Kerfont Informatrice, Marie Kerfont
titrefr	Témoignage sur la famille, la vie à Terre-Neuve, les questions identitaires et de langue par Marie Kerfont - Cap Saint Georges, Terre-Neuve 1990 [CA]
http://nakala.fr/terms#created	1990
licence	etalab-2.0
type	http://purl.org/coar/resource_type/c_18cc
descriptionfr	Marie Kerfont parle de la famille, d'histoire et d'activités du quotidien.
http://purl.org/dc/terms/contributor	Magord, André
http://purl.org/dc/terms/identifier	MFLA_MAG_0001_0001
http://purl.org/dc/terms/source	F14593c/C13086/CD-F1098 ; F14594c/C13087/CD-F1099
http://purl.org/dc/terms/spatial	Petit Jardin, Cape St. George, Terre-Neuve, Terre-Neuve et Labrador, A0N 1E0, Canada
http://purl.org/dc/terms/spatial	Terre-Neuve
http://purl.org/dc/terms/spatial	Péninsule de Port-au-Port
http://purl.org/dc/terms/temporal	1990-05-11 00:00:00
auteur	enquêtée avec Marie Kerfont Informatrice
auteur	Marie Kerfont

Fichiers Nakala du projet Francoralite

Témoignage sur la famille, la vie à Terre-Neuve, les questions identitaires et de langue par Marie Kerfont - Cap Saint Georges, Terre-Neuve 1990 [CA]

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